24 fév 2021: « Il n’y a pas un mot de vrai dans la campagne antichinoise sur les Ouïghours », déclare Maxime Vivas, journaliste français et auteur du livre OUÏGHOURS, POUR EN FINIR AVEC LE FAKE NEWS, publié par La route de la soie, déc. 2020.
Contrairement aux parlementaires canadiens qui viennent de se disgracier en adoptant une résolution reconnaissant que la Chine ferait un génocide contre les OuÏghours, Maxime Vivas a visité la région autonome de Xinjiang à deux reprises, en 2016 et en 2018, et a fait des recherches sur les accusations portées contre la Chine et les origines de celles-ci.
Dans cette entrevue, il décrit d'abord la géographie, la démographie et l'économie de Xinjiang, qui représente le sixième du territoire chinois. Il rappelle les sanglants attentats commis par des islamistes extrémistes affiliés à Al Qaeda ou Daech, contre la population chinoise, en soulignant que l'organisation terroriste principale, le Mouvement islamique du Turkestan oriental (MITO/ETIM) a été sur la liste des groupes terroristes de George W. Bush mais a été retiré de la liste par la suite.
Ensuite, il démantèle chacun des mensonges véhiculés par les médias occidentaux: génocide, génocide culturel, stérilisation forcée, interdiction de la langue Ouïghour, camps de concentration, et plus.
Il démontre aussi que chacun des mensonges vient des mêmes sources qui, elles, sont financées et soutenues par la CIA ou par une succursale de celle-ci.
OuÏghours, pour en finir avec les fake news, Éditions La route de la soie, 979-10-97042-707 180 p.
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